Le Castiglione

Adresse :

235 rue saint Honoré
75001 Paris 1

Informations :

Restaurant traditionnel
Bar, café

Description :

Sir Yes Sir ! Lorsque l’on pousse la porte du Castiglione, on entre en « Couessie ». Les soucis tombent des épaules, la nécessité se met en congé, on s’y sent c…omme chez soi. Du coup, les habitués l’ont raccourci en Casti pour mieux se l’approprier. Ce n’est pas au pays da-ga d’Aragon ni de Castill’, comme dans la chanson de Boby Lapointe, le maître du calambour. A ce propos rev’nons à nos moutons ! Au premier coup d’œil, l’on voit bien que les choses ont été pensées, choisies, posées là où elles doivent l’être. Dans cet écrin stylé, tout est tiré à quatre épingles. Que du capitonné pour le confort, et du bon goût dans les assiettes, estampillées made in exigence ! Le service y est super classe : « …Sir ! It’ is time to break the Clust… » en décalage parodique façon Robert Dalban, ça signifie qu’il est l’heure de classer la croûte sir ! Qui est derrière la « Cène » ? Pardi ! Le p’tit cafetier comme aiment à l’attifer ses camarades de vélo. Sobriquet à la Audiard pratiquant le mot leste. Monsieur Couet, vous l’aurez compris, est un taré de la bicyclette, un sportif de haute voltige. L’effort forgera son homme, en quête permanente d’une conjugaison au plus que parfait. Proche de ses équipes, à l’écoute de l’exigence, répondant à l’attente pressante d’une clientèle aguerrît. Et, en toute confidence, Fabrice Couet n’est pas né aveyronnais mais béarnais, ce qui lui octroie du panache. En 2000 Pierre Couet, le père le moment étant venu, passera le relais à son fils unique, aux commandes depuis ce début de XXIè siècle. Dans ce café ultra raffiné, proche de la place Vendôme, vous pourrez petit déjeuner, déjeuner, dîner, souper. Le modèle n’est pas un modèle courant, pas besoin d’inventer les émotions, elles sont déjà là. Et la joie de pouvoir les partager se lit dans les yeux. Attention au Casti il y a risque d’addiction. Tout est fait pour le plaisir de manger. Et pour vous accueillir, le meilleur ami de l’homme, le chien Garry, la nouvelle coqueluche du café. Où, pure délire, croiser le staff du Vogue USA, grignoter sur le pouce la légendaire Chicken Caesar Salad et ce, toute la sainte journée sera possible. Commencer le souper avec une authentique gratinée aux oignons, la fameuse recette culte de la maison copiée jamais égalée… Au retour du théâtre ou de l’opéra avoir en vis à vis les « modeuses » Outre-Atlantique, probable. Où, plus émotif, le plaisir d’apercevoir Sofia Coppola, se délectant du Casti burger avec supplément bacon… Référencé dans le Sofia’s Adress Book comme étant le meilleur de la capitale, reste bouleversant ! Et pour sa légèreté de l’être, la concurrence est omniprésente, régalez vous d’un steak tartare nature. Et pourquoi pas succomber sans retenue aux pommes allumettes, de minuscules frites croustillantes ? Au Castiglione en bas, l’ambiance y est cosy. Les « mademoiselles » font un brin de causette sur les banquettes molletonnées avec une tasse de thé ou du chocolat à l’eau, en se délectant d’une tarte fine aux pommes, restera un moment de gourmandise inouï. Quant aux messieurs ils sont aux coudes à coudes au bar, de dos les épaules sont élégantes. Le comptoir reste un lieu d’hommes pressés. Comment résister à l’osmose parfaite qu’est le Tartare Casti ? En y succombant… Le chef de cuisine, Philippe Gravouille, cuit avec précaution viandes et poissons, sert des sauces légères sans être dénuées d’émulsions fortes, avec des accents étrangers, qui révèlent ces moments délicieux. Pas de routine gastronomique ni d’effets spéciaux comme au cinéma. Rien que pour vous, le tapis rouge se foule aux pieds de bas en haut, vaut le détour. Et ce 364 jours sur 365, avec un personnel éduqué pour écouter et se préoccuper de votre petit dedans. Bientôt un brunch comme à New York et bio comme vous les aimez… Le repas est tout à l’honneur, le style de la cuisine « néoclassicomoderniste » se fond en un savoir faire « consubstentiel » en claire : A votre service 24X24 et 7J7. Affirmatif ! Pour les férus d’histoire et vous la faire courte, Le Castiglione était en 1945 à la libération, un genre d’Harry’s Bar tenu par un dénommé Amédée Martin. En 1976 l’affaire sera repris par l’inénarrable Gilbert Flottes, qui insufflera un style aveyronnais et peut s’enorgueillir d’avoir congédier les Rolling Stones au complet pour turbulences, Keith Richard y possède un deux pièces cuisine dans l’immeuble… Du coup, les habitués l’ont raccourci en Casti pour mieux se l’approprier. Ce n’est pas au pays da-ga d’Aragon ni de Castill’, comme dans la chanson de Boby Lapointe, le maître du calambour. A ce propos rev’nons à nos moutons ! Au premier coup d’œil, l’on voit bien que les choses ont été pensées, choisies, posées là où elles doivent l’être. Dans cet écrin stylé, tout est tiré à quatre épingles. Que du capitonné pour le confort, et du bon goût dans les assiettes, estampillées made in exigence ! Le service y est super classe : « …Sir ! It’ is time to break the Clust… » en décalage parodique façon Robert Dalban, ça signifie qu’il est l’heure de classer la croûte sir ! Qui est derrière la « Cène » ? Pardi ! Le p’tit cafetier comme aiment à l’attifer ses camarades de vélo. Sobriquet à la Audiard pratiquant le mot leste. Monsieur Couet, vous l’aurez compris, est un taré de la bicyclette, un sportif de haute voltige. L’effort forgera son homme, en quête permanente d’une conjugaison au plus que parfait. Proche de ses équipes, à l’écoute de l’exigence, répondant à l’attente pressante d’une clientèle aguerrît. Et, en toute confidence, Fabrice Couet n’est pas né aveyronnais mais béarnais, ce qui lui octroie du panache. En 2000 Pierre Couet, le père le moment étant venu, passera le relais à son fils unique, aux commandes depuis ce début de XXIè siècle. Dans ce café ultra raffiné, proche de la place Vendôme, vous pourrez petit déjeuner, déjeuner, dîner, souper. Le modèle n’est pas un modèle courant, pas besoin d’inventer les émotions, elles sont déjà là. Et la joie de pouvoir les partager se lit dans les yeux. Attention au Casti il y a risque d’addiction. Tout est fait pour le plaisir de manger. Et pour vous accueillir, le meilleur ami de l’homme, le chien Garry, la nouvelle coqueluche du café. Où, pure délire, croiser le staff du Vogue USA, grignoter sur le pouce la légendaire Chicken Caesar Salad et ce, toute la sainte journée sera possible. Commencer le souper avec une authentique gratinée aux oignons, la fameuse recette culte de la maison copiée jamais égalée… Au retour du théâtre ou de l’opéra avoir en vis à vis les « modeuses » Outre-Atlantique, probable. Où, plus émotif, le plaisir d’apercevoir Sofia Coppola, se délectant du Casti burger avec supplément bacon… Référencé dans le Sofia’s Adress Book comme étant le meilleur de la capitale, reste bouleversant ! Et pour sa légèreté de l’être, la concurrence est omniprésente, régalez vous d’un steak tartare nature. Et pourquoi pas succomber sans retenue aux pommes allumettes, de minuscules frites croustillantes ? Au Castiglione en bas, l’ambiance y est cosy. Les « mademoiselles » font un brin de causette sur les banquettes molletonnées avec une tasse de thé ou du chocolat à l’eau, en se délectant d’une tarte fine aux pommes, restera un moment de gourmandise inouï. Quant aux messieurs ils sont aux coudes à coudes au bar, de dos les épaules sont élégantes. Le comptoir reste un lieu d’hommes pressés. Comment résister à l’osmose parfaite qu’est le Tartare Casti ? En y succombant… Le chef de cuisine, Philippe Gravouille, cuit avec précaution viandes et poissons, sert des sauces légères sans être dénuées d’émulsions fortes, avec des accents étrangers, qui révèlent ces moments délicieux. Pas de routine gastronomique ni d’effets spéciaux comme au cinéma. Rien que pour vous, le tapis rouge se foule aux pieds de bas en haut, vaut le détour. Et ce 364 jours sur 365, avec un personnel éduqué pour écouter et se préoccuper de votre petit dedans. Bientôt un brunch comme à New York et bio comme vous les aimez… Le repas est tout à l’honneur, le style de la cuisine « néoclassicomoderniste » se fond en un savoir faire « consubstentiel » en claire : A votre service 24X24 et 7J7. Affirmatif ! Pour les férus d’histoire et vous la faire courte, Le Castiglione était en 1945 à la libération, un genre d’Harry’s Bar tenu par un dénommé Amédée Martin. En 1976 l’affaire sera repris par l’inénarrable Gilbert Flottes, qui insufflera un style aveyronnais et peut s’enorgueillir d’avoir congédier les Rolling Stones au complet pour turbulences, Keith Richard y possède un deux pièces cuisine dans l’immeuble…

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Horaires :

Lundi
07h00 - 23h30
Mardi
07h00 - 23h30
Mercredi
07h00 - 23h30
Jeudi
07h00 - 23h30
Vendredi
07h00 - 23h30
Samedi
07h00 - 23h30
Dimanche
07h00 - 23h30

Localisation :

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