Jargus à Nantes

Dans un temps pas si éloigné de nous, vivait le plus célèbre des apothicaires de son époque, dont la réputation et les qualités étaient vantées dans tout le pay…s. Voyant son âge s’attendrir, il se dit qu’il serait tant d’assurer la relève, et de préparer son méditatif fils, ainsi qu’il soit devenu aussi doué et reconnu que lui pour remédier. Mais ce jouvenceau, quoique très admiratif des talents de son père, était bien plus absorbé par les qualités gustatives et les senteurs de ses potions à base d’herbes et de plantes que par leurs capacités à guérir les maux ! Tous les malades à qui il administrait ses potions les savouraient avec délice mais n’étaient point guéri de leurs misères…Ils mouraient tous les uns après les autres. Heureux et la panse pleine pour le moins ! Le père, soucieux de conserver son nom et sa réputation intacts, palliait discrètement les manquements et fantaisies de son digne héritier de sorte que cela ne sache pas et que le commerce n’en pâtisse pas…Et on contraire, en plus d’être purifiantes et calmantes (avec quelques loupés) elles étaient bonnes et savoureuses, plongeant la petite boutique sous une réputation encore plus grande tant les remèdes de l’époque donnaient à gerber. Lorsque le père vint à mourir et qu’il fallut envisager de faire digne mémoire, le fils apothicaire nullissime, décida qu’il ne pouvait perpétuer l’activité sans entacher la réputation du père. Il réfléchit ainsi à ce qu’il avait envie de faire de sa vie, de sorte qu’elle lui soit heureuse et satisfaisante. Pour être sûr de son choix, il décida de travailler une semaine avec chacun des Hommes de son petit village. Il voulait être sûr de son choix avant de s’engager dans une voie qui ne serait pas la sienne et, pour laquelle il n’excellerai jamais. Libraire, laitier, boulanger, banquier, maréchal ferrant, agriculteur …environ une vingtaine de métiers passèrent ainsi dans les doigts un poil godiches, avouons-le, de notre jeune luron. Mais rien à faire, même avec toute la bonne volonté du monde, aucun ne le lui convint. Ses 20 Maitres d’une semaine reconnaitront sa gaillardise et sa gentillesse, mais point son enthousiasme à la tâche. Ses rires éclataient mieux lorsque arrivait l’heure tant attendue du déjeuner. Il dégainait alors de son panier en osier 3 Flacons, qui jadis eurent servi de contenant médicinal à son défunt père, dans lesquelles il avait disposé, pour le premier son déjeuner, pour le second son dessert, et pour le troisième de quoi étancher sa soif. Fin gourmets dont les talents culinaires et l’approche astucieuse attirait les appétences, ses tuteurs furent très vite pris de l’envie d’y gouter. Tous furent enthousiasmés par ses recettes si gourmandes et savoureuses qu’ils lui demandèrent rapidement de leur préparer un déjeuner tous les jours. En plus cela leur évitait de repasser par la chaumière, en mangeant sur place ainsi, ils pouvaient rentrer plus tôt le soir. C’est ainsi que Le Fils décida de rouvrir les portes du cabinet d’apothicaire de son père et d’y créer le premier fast Food qu’il nomma JARGUS en référence au sobriquet dont il était désormais coutumier : Le Gus aux Jars. Voyant son âge s’attendrir, il se dit qu’il serait tant d’assurer la relève, et de préparer son méditatif fils, ainsi qu’il soit devenu aussi doué et reconnu que lui pour remédier. Mais ce jouvenceau, quoique très admiratif des talents de son père, était bien plus absorbé par les qualités gustatives et les senteurs de ses potions à base d’herbes et de plantes que par leurs capacités à guérir les maux ! Tous les malades à qui il administrait ses potions les savouraient avec délice mais n’étaient point guéri de leurs misères…Ils mouraient tous les uns après les autre Heureux et la panse pleine pour le moins ! Le père, soucieux de conserver son nom et sa réputation intacts, palliait discrètement les manquements et fantaisies de son digne héritier de sorte que cela ne sache pas et que le commerce n’en pâtisse pas…Et on contraire, en plus d’être purifiantes et calmantes (avec quelques loupés) elles étaient bonnes et savoureuses, plongeant la petite boutique sous une réputation encore plus grande tant les remèdes de l’époque donnaient à gerber. Lorsque le père vint à mourir et qu’il fallut envisager de faire digne mémoire, le fils apothicaire nullissime, décida qu’il ne pouvait perpétuer l’activité sans entacher la réputation du père. Il réfléchit ainsi à ce qu’il avait envie de faire de sa vie, de sorte qu’elle lui soit heureuse et satisfaisante. Pour être sûr de son choix, il décida de travailler une semaine avec chacun des Hommes de son petit village. Il voulait être sûr de son choix avant de s’engager dans une voie qui ne serait pas la sienne et, pour laquelle il n’excellerai jamai Libraire, laitier, boulanger, banquier, maréchal ferrant, agriculteur …environ une vingtaine de métiers passèrent ainsi dans les doigts un poil godiches, avouons-le, de notre jeune luron. Mais rien à faire, même avec toute la bonne volonté du monde, aucun ne le lui convint. Ses 20 Maitres d’une semaine reconnaitront sa gaillardise et sa gentillesse, mais point son enthousiasme à la tâche. Ses rires éclataient mieux lorsque arrivait l’heure tant attendue du déjeuner. Il dégainait alors de son panier en osier 3 Flacons, qui jadis eurent servi de contenant médicinal à son défunt père, dans lesquelles il avait disposé, pour le premier son déjeuner, pour le second son dessert, et pour le troisième de quoi étancher sa soif. Fin gourmets dont les talents culinaires et l’approche astucieuse attirait les appétences, ses tuteurs furent très vite pris de l’envie d’y gouter. Tous furent enthousiasmés par ses recettes si gourmandes et savoureuses qu’ils lui demandèrent rapidement de leur préparer un déjeuner tous les jour En plus cela leur évitait de repasser par la chaumière, en mangeant sur place ainsi, ils pouvaient rentrer plus tôt le soir. C’est ainsi que Le Fils décida de rouvrir les portes du cabinet d’apothicaire de son père et d’y créer le premier fast Food qu’il nomma JARGUS en référence au sobriquet dont il était désormais coutumier : Le Gus aux Jar